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Conseil du jour :Consommer du silicium organique face à l’arthrose

Dernière mise à jour : 15 mars 2021

Le silicium qu’est-ce que c’est ?


C’est un oligoélément essentiel à notre organisme, indispensable à la structure des tissus conjonctifs, dits “de soutien”, que l’on retrouve partout dans le corps : au niveau des muscles, de la peau, des os, des cartilages, des articulations, des tendons, des vaisseaux sanguins. Il représente la fondation du collagène qui est primordial pour la santé des cartilages. Le collagène représente la structure des tissus, il est responsable de la souplesse l’élasticité et la résistance des tissus, c’est un « antiâge ». Le silicium stimule sa production de collagène et améliore sa qualité. Il renforce aussi la communication intracellulaire et potentialise les actifs auxquels il est associé. il optimise la fixation de la plupart de tous les autres minéraux (dont le calcium. Le silicium semble diminuer l’assimilation de l’aluminium, dont il réduit ainsi la toxicité potentielle (pour le système nerveux en particulier).


Source alimentaire de silicium :


Les principales sources de silicium sont l’ortie et la prêle deux plantes reminéralisante.

Dans l’alimentation on le retrouve principalement dans les eaux de boisson :

Les eaux de boisson riches en silicium (pour un litre) Chateldon : 110 mg Salvetat : 72 mg Badoit : 35 mg Volvic : 31,7 mg Evian : 15 mg

  • Céréales complètes et dérivés : son, riz, blé, orge, avoine, épeautre, pain complet…

  • Légumineuses et légumes : haricots blancs, haricots verts, lentilles, laitue, navets, concombres, épinards, petits pois frais, champignons, radis …

  • Fruits à coque et fruits séchés : amandes, pistaches, noix du Brésil, noix de cajou, noix de coco séchées et dattes séchées…

  • Fruits frais : pommes, coings, bananes, mûres, raisins, myrtilles, agrumes…

  • Condiments, sauces et herbes : persil, ail, échalote, oignon, olives…

Les risques en cas de carence

  • Chez l’animal, notamment le rat, un régime carencé en silicium entraîne une diminution de la production de collagène, ainsi que des anomalies des os et des cartilages. Ces signes disparaissent après supplémentation en silicium.

  • Le déficit en silicium n’est pas décrit chez l’être humain.


Pourquoi le silicium organique ?

Il se différencie de la silice minérale par la présence d’un ou plusieurs atomes de carbone, ce qui le rend parfaitement soluble dans l’eau. Il a été rendu plus assimilable à hauteur de 70 % (cela varie selon les fabriquant et les méthodes de fabrications) que le silicium végétal qui lui n’est assimilable qu’a hauteur de 3- 7% environ. Le silicium organique. Pour la petite histoire, un chercheur français, Norbert DUFFAUT, a effectué dans les années cinquante, des études sur les organo-siliciés. Ses études ont abouti à la mise au point d’une molécule stabilisée par de l’acide salicylique (aspirine). Mais ce n’est qu’au début des années 1990 que Loïc le Ribault, réussi à optimiser cette nouvelle molécule, baptisée « G5 », sous forme liquide, sans ajouter d’acide salicylique.

Propriété du silicium organique :

-Anti douleur, Anti-inflammatoire : Elles sont documentées par de nombreuses études cliniques.


-Un rôle dans les défenses immunitaires : Au niveau de la moelle osseuse, le silicium favorise la formation des phagocytes (qui détruisent virus et bactéries) et des lymphocytes (chargés de la fabrication d’anticorps spécifiques)


-stimulation de la production de collagène et amélioration de la qualité du collagène.


-Antiâge : Par son action sur la collagène et autres macromolécules responsable de l’élasticité de la résistance des tissus comme la peau, les cheveux, les ongles(élastine et kératine notamment).

Il a une action anti-rides, il améliore l’hydratation des tissus, et permet de :


Tonifier et raffermir la peau, densifier la chevelure et rendre les ongles moins cassants.

renforce les parois veineuse et améliore donc la circulation sanguine.



Pourquoi le silicium organique est utile en cas d’arthrose ?

De par le fait qu’il stimule la production et la qualité du collagène et autres macromolécules nécessaire à la bonne santé du cartilage mais aussi par le faite qu’il améliore la qualité des parois veineuse qui alimentent les glandes synoviales nourrissant le cartilage.

Risques en cas de sous-dosage et de surdosage de silicium

Les risques en cas de carence

  • Chez l’animal, notamment le rat, un régime carencé en silicium entraîne une diminution de la production de collagène, ainsi que des anomalies des os et des cartilages. Ces signes disparaissent après supplémentation en silicium.

  • Le déficit en silicium n’est pas décrit chez l’être humain.

Les risques en cas d’excès

  • L’administration de silicium à forte dose et à long terme bloque la croissance des rats ou des souris. Plus qu’à une quelconque toxicité, cet effet est attribué par les chercheurs au déséquilibre du régime induit par une telle supplémentation.

  • Chez l’humain, l’usage durant plusieurs années de médicaments anti-acides contenant du trisilicate de magnésium (6,5 mg de silicium par comprimé), a induit dans quelques cas le développement de calculs rénaux contenant des silicates.

  • Selon les agences sanitaires, le silicium provenant des boissons et des aliments ne semble pas avoir d’effet délétère sur la santé. C’est pourquoi, ni l’Efsa, ni l’Institut de médecine Nord-américain (IOM), n’ont fixé de limite de sécurité pour le silicium. L’Efsa précise que les apports en silicium sont estimés entre 20 et 50 mg par jour chez les adultes, soit 0,3 à 0,8 mg par kilo de poids et par jour pour un individu pesant 60 kilos.

  • L’inhalation chronique de silicium, qui concerne certaines professions : travail dans les mines, la métallurgie, la production de verre ou de céramique… expose à une maladie des poumons, la silicose, qui peut évoluer vers une tuberculose. Elle présente aussi une toxicité rénale.

  • Les additifs alimentaires à base de silicium peuvent contenir des nanomatériaux, des substances dont la taille est fixée réglementairement à moins de 100 nanomètres (un nanomètre = un milliardième de mètre). Du fait de leur très petite taille, ces particules sont susceptibles de parvenir jusqu’au sang ou aux poumons, de franchir la barrière placentaire ou la barrière hémato-encéphalique (qui protège le cerveau). Selon l’Agence nationale de sécurité de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses), leurs effets sur la santé sont encore mal connus, mais certaines d’entre-elles sont toxiques. En complément d’un Règlement européen de 2011, un arrêté français de 2017 rend obligatoire l’étiquetage des nanomatériaux des denrées alimentaires : au niveau de la liste des ingrédients, tout additif comportant des nanoparticules doit être suivi de la mention : (nano) entre crochets.

Le silicium organique peut être pris toute l'année si besoin, il n'y a pas de risque d'excès si vous respectez les prescriptions. Je vous recommande, d'un point de vue chronobiologique, de le consommer davantage le soir car l'absorption minérale se fait pendant le sommeil.

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Hérissé Jérôme votre naturopathe et magnétiseur passionné

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