top of page

Les produits laitiers bon ou mauvais ?

Les produits laitier ont étaient mis en avant de manière importante dans l'alimentation. Mais qu'en est il de leur impact sur le bien-être ?


Assimilation :


Les produits laitiers sont riches en phosphoprotéines or le phosphore quand il est en excès inhibe l'absorption du calcium.


D'après le dr Henri Joyeux seulement 30 % du calcium d'un yaourt est absorbé contre 74 % pour celui du radis.


Les laitages contiennent du lactose et des proteines difficiles à digérer.


Les fameuses phosphoprotéines notamment de Caseine qui mal tolerées provoquent de la porosité intestinale responsable de maladies chroniques.


Les personnes les digerant bien n'auront pas de problèmes majeurs avec les produits laitiers. Mais ce n'est pas le cas de tout le monde malheureusement.


Beaucoup de personnes sont dailleurs intolérantes aux produits laitiers sans le savoir.


Ces derniers ont tendance à creer de l'inflammation au niveaux de la partie supérieure du corps notamment au niveau pulmonaire et ORL.


On facilement le detecter chez des enfants qui ne mangent que ça.


En ayurveda on rajoute souvznts des épices avec les produits laitiers pour faciliter meurs digestion.


En ayurveda le beurre est d'ailleurs clarifié pour enlever les résidus toxiques comme ceux de caséine.


Autre point le lait industrialisé n'a plus rien à voir avec le lait de nos ancêtres.


Les vaches sont surstimulée bourrées de médicaments.


Le lait de vache contient d'ailleurs des hormones de croissance IGF1 poir la croissance du veaux qui nest pas proportionée avec la nôtre. Ce quibpeut amener des perturbations endocrinienes.


Il contient des hormones des œstrogènes, de la progestérone et de la prolactine cela peut agir comme perturbateur endocrinien et donc perturber l'équilibre hormonal.


Les laitages des aliments acidifiants :


Leur coté acidifiant est néfaste surtout pour les fromages malgré leur teneur plus faible en lactose d'autant moins importante qu'ils sont affinés.



Dans les intestins cette acidification est censée être régulée par le corps je dis censé car cela se passe quand le corps est en bonne santé. Le corps utilise divers processus complexe pour réguler cette excès d'acidité dont la déminéralisation en dernier recours. Avant d'en arriver à la déminéralisation le corps sécrète des bicarbonates par le foie et le pancréas. Si ces derniers sont épuisé et que la charge acide est trop forte on en vient à la déminéralisation de la muqueuse intestinale, ses minéraux vont former un complexe neutre avec les acides pour désactiver l'excès d'acidité. Autres méthodes :


 Tamponnage par le Mucus Intestinal :


  • Le mucus qui tapisse les parois intestinales contient des glycoprotéines et des ions bicarbonates qui aident à neutraliser les acides. Ce mucus protège également les muqueuses intestinales des dommages causés par une acidité excessive, tout en facilitant le passage des aliments.


3. Échange d'Ions au Niveau Cellulaire :


  • Les cellules épithéliales de l'intestin grêle peuvent échanger des ions H⁺ contre des ions Na⁺ (sodium) ou K⁺ (potassium) pour maintenir l'équilibre acido-basique local. Ce processus aide à réguler le pH intestinal en évitant une accumulation excessive d'ions H⁺.


4. Absorption et Excrétion des Acides et Bases :


  • L'intestin grêle absorbe certains acides faibles et bases à travers ses parois. Parallèlement, des acides forts ou des substances acides peuvent être excrétés dans la lumière intestinale via la bile ou les sécrétions pancréatiques, contribuant ainsi à l'élimination de l'excès d'acidité.


5. Action des Bactéries Intestinales :


  • Le microbiote intestinal participe également à la régulation du pH. Certaines bactéries produisent des acides organiques (comme l'acide lactique ou l'acide acétique) qui sont ensuite neutralisés par d'autres mécanismes tampon, tandis que d'autres bactéries peuvent consommer ces acides, contribuant à l'équilibre global.


6. Transport Actif des Ions :

  • Le transport actif des ions comme le chlore (Cl⁻) et les bicarbonates à travers les membranes cellulaires de l'intestin permet une régulation fine du pH. Par exemple, l'échange de Cl⁻ contre HCO₃⁻ permet d'éliminer les ions acides tout en augmentant la concentration de bicarbonate dans l'intestin, contribuant ainsi à la neutralisation de l'acidité.


Ces mécanismes travaillent ensemble pour maintenir un environnement intestinal relativement neutre, ce qui est essentiel pour la digestion et l'absorption des nutriments, ainsi que pour protéger les muqueuses intestinales des dommages causés par une acidité excessive.


Le pH de l'intestin varie selon les différentes parties de ce dernier. Voici une vue d'ensemble des plages de pH typiques pour chaque section :


  1. Estomac : Le pH dans l'estomac est généralement très acide, variant de 1,5 à 3,5, ce qui aide à la digestion des protéines et à la destruction des bactéries.

  2. Intestin grêle :

    • Duodénum : Le pH est légèrement acide à neutre, autour de 5 à 6. Cela est dû à la présence de sécrétions biliaires et pancréatiques qui neutralisent l'acidité de l'estomac.

    • Jéjunum : Le pH est généralement légèrement plus alcalin, se situant entre 6 et 7. Cette alcalinité aide à l'activation des enzymes digestives et à l'absorption des nutriments.

    • Iléon : Le pH continue à être légèrement alcalin, entre 7 et 8. Cela facilite la digestion et l'absorption des nutriments, en particulier les sels biliaires et la vitamine B12.

  3. Côlon (ou gros intestin) : Le pH est généralement plus acide, se situant autour de 5,5 à 7. Cette acidité est influencée par la fermentation des fibres alimentaires par les bactéries intestinales, produisant des acides gras à chaîne courte.


Chaque partie de l'intestin a donc un pH adapté à ses fonctions spécifiques dans la digestion et l'absorption des nutriments.


Malgré ces processus l'intestin peut avoir une acidité trop importante causant des dérèglement de la flore intestinale elle même responsable de la sécrétion d'hormone et de métabolites précurseurs de l'activité hormonale.


Cela peut perturber l'équilibre hormonale dont la glycémie et les hormones sexuelles et de croissance pour les enfants.


De plus cette excès d'acidité peut favoriser la sécrétion de métabolites toxiques qui peuvent entrer dans la circulation sanguine.


Cette acidité peut également favoriser la porosité intestinale ce qui accentue le problème et peut causer bien pire comme des maladies chronique et notamment des maladie auto-immune tel l'ostéoporose.




Plusieurs études et revues scientifiques ont exploré les effets potentiellement néfastes de la consommation de produits laitiers, notamment en ce qui concerne la santé osseuse, le risque de maladies cardiovasculaires, et le développement de certains cancers. Voici quelques exemples :


1. Consommation de produits laitiers et cancer de la prostate


  • Étude : "Milk, dairy products, calcium, and risk of prostate cancer in the NIH-AARP Diet and Health Study" (2007).

  • Résultat : Cette étude a trouvé une association entre une consommation élevée de produits laitiers, de lait et de calcium alimentaire, et un risque accru de cancer de la prostate.

  • Source : American Journal of Epidemiology.


2. Produits laitiers et maladies cardiovasculaires


  • Étude : "Dairy Consumption and Risk of Cardiovascular Disease: A Systematic Review and Meta-Analysis of Prospective Cohort Studies" (2017).

  • Résultat : Certaines études incluses dans cette méta-analyse suggèrent qu'une consommation élevée de produits laitiers riches en graisses saturées pourrait être associée à un risque accru de maladies cardiovasculaires, bien que les résultats ne soient pas toujours cohérents.

  • Source : American Journal of Clinical Nutrition.


3. Produits laitiers et santé osseuse


  • Étude : "Milk consumption during teenage years and risk of hip fractures in older adults" (2014).

  • Résultat : Cette étude a révélé que la consommation élevée de lait à l'adolescence n'était pas associée à un risque réduit de fractures de la hanche à l'âge adulte, et pourrait même augmenter ce risque chez les hommes.

  • Source : JAMA Pediatrics.


4. Produits laitiers et inflammation


  • Étude : "The inflammatory effects of dairy protein on systemic inflammation in overweight and obese subjects" (2018).

  • Résultat : Cette étude a montré que la consommation de produits laitiers pouvait augmenter les marqueurs inflammatoires chez certaines populations, notamment chez les personnes en surpoids ou obèses.

  • Source : American Journal of Clinical Nutrition.


5. Produits laitiers et intolérance au lactose


  • Revue : "Lactose Intolerance and Health" (2010).

  • Résultat : Cette revue discute des effets négatifs que la consommation de produits laitiers peut avoir chez les personnes intolérantes au lactose, y compris les troubles digestifs et le risque potentiel d'autres maladies chroniques.

  • Source : Journal of the American College of Nutrition.


Ces études montrent qu'il existe des risques potentiels liés à la consommation de produits laitiers, bien que les résultats puissent varier en fonction des populations étudiées et des types de produits laitiers consommés. Il est important de noter que la recherche est encore en cours, et que l'effet des produits laitiers sur la santé peut dépendre de nombreux facteurs individuels.



Consommation de produits laitiers et ostéoporose


La relation entre la consommation de produits laitiers et la santé osseuse, notamment le risque d'ostéoporose, est complexe et a fait l'objet de nombreuses études. Certaines recherches suggèrent que les produits laitiers, malgré leur apport en calcium, pourraient ne pas protéger contre l'ostéoporose, voire être associés à un risque accru de fractures.


1. Étude sur la consommation de lait et le risque de fractures :


  • Étude : "Milk intake and risk of mortality and fractures in women and men: cohort studies" (2014).

  • Résultat : Cette étude prospective menée en Suède a révélé que la consommation élevée de lait était associée à un risque accru de fractures, notamment chez les femmes. Les chercheurs ont émis l'hypothèse que le lactose et le galactose présents dans le lait pourraient augmenter le stress oxydatif et l'inflammation, contribuant ainsi à la fragilisation des os.

  • Source : BMJ.


2. Revue systématique sur les produits laitiers et la santé osseuse :


  • Étude : "Dairy products and bone health: a systematic review and meta-analysis of randomized controlled trials" (2011).

  • Résultat : Cette revue systématique a montré que les preuves soutenant l'idée que la consommation de produits laitiers améliore la densité osseuse et réduit le risque de fractures sont limitées. Certains essais contrôlés n'ont montré aucun effet significatif des produits laitiers sur la densité minérale osseuse.

  • Source : Annals of Internal Medicine.


3. Étude sur le calcium, les produits laitiers et les fractures :


  • Étude : "Calcium intake and the risk of fracture: a meta-analysis" (2015).

  • Résultat : Cette méta-analyse a révélé qu'une consommation accrue de calcium, que ce soit par les produits laitiers ou les suppléments, n'était pas nécessairement associée à une réduction significative du risque de fractures.

  • Source : BMJ.


Liens des études mentionnées précédemment


  1. Milk, dairy products, calcium, and risk of prostate cancer in the NIH-AARP Diet and Health Study (2007)

    • American Journal of Epidemiology.

  2. Dairy Consumption and Risk of Cardiovascular Disease: A Systematic Review and Meta-Analysis of Prospective Cohort Studies (2017)

    • American Journal of Clinical Nutrition.

  3. Milk consumption during teenage years and risk of hip fractures in older adults (2014)

    • JAMA Pediatrics.

  4. The inflammatory effects of dairy protein on systemic inflammation in overweight and obese subjects (2018)

    • American Journal of Clinical Nutrition.

  5. Lactose Intolerance and Health (2010)

  6. Milk intake and risk of mortality and fractures in women and men: cohort studies (2014)

    • BMJ.

  7. Dairy products and bone health: a systematic review and meta-analysis of randomized controlled trials (2011)

    • Annals of Internal Medicine.

  8. Calcium intake and the risk of fracture: a meta-analysis (2015)

    • BMJ.



Autres problèmes liés à la consommation de lait :


Protéines animales et acidification : Certaines théories suggèrent que les protéines animales présentes dans le lait peuvent acidifier le sang, nécessitant le prélèvement de calcium des os pour neutraliser cette acidité, ce qui pourrait théoriquement contribuer à l'ostéoporose.


Cependant, cette hypothèse reste controversée et n'est pas unanimement acceptée dans la communauté scientifique.


Facteurs hormonaux : Le lait contient des hormones naturelles (comme les œstrogènes) qui, à des niveaux élevés, pourraient potentiellement affecter le métabolisme osseux et d'autres systèmes du corps. Certains chercheurs ont également exprimé des préoccupations concernant les résidus d'hormones de croissance bovine dans les produits laitiers.


Études pertinentes :


Source 1 : "Milk consumption during teenage years and risk of hip fractures in older adults" (2014). Cette étude suggère que la consommation élevée de lait ne protège pas nécessairement contre les fractures et pourrait avoir des effets adverses à long terme.


Source 2 : "Dietary protein, calcium metabolism, and skeletal homeostasis revisited" (2003). Cette étude examine le rôle des protéines animales dans l'équilibre acido-basique et ses effets potentiels sur la santé osseuse.


Hypothèse acide-cendre :


La théorie selon laquelle la consommation de protéines animales, y compris celles provenant du lait, pourrait acidifier le sang et ainsi contribuer à la déminéralisation osseuse (et donc à l'ostéoporose) est connue sous le nom de l'hypothèse acide-cendre. Cette hypothèse est controversée, avec des arguments et des preuves des deux côtés.


Hypothèse acide-cendre : les arguments pour


  1. Acidification par les protéines animales :

    • Mécanisme proposé : Les protéines animales, lorsqu'elles sont métabolisées, produisent des acides comme l'acide sulfurique en raison de la présence d'acides aminés soufrés (méthionine et cystéine). Selon l'hypothèse acide-cendre, ces acides augmentent la charge acide nette de l'organisme.

    • Calcium osseux comme tampon : Pour neutraliser cette acidité, le corps puiserait dans ses réserves alcalines, notamment le calcium des os, pour tamponner les acides et maintenir le pH sanguin dans une plage étroite.


  2. Études supportant l'hypothèse :

    • Augmentation de l'excrétion de calcium : Des études ont montré que l'augmentation de l'apport en protéines animales est associée à une augmentation de l'excrétion urinaire de calcium, ce qui pourrait suggérer une perte de calcium osseux.

    • Association avec la perte osseuse : Certaines études épidémiologiques ont trouvé une corrélation entre un apport élevé en protéines animales, une acidité accrue de l'urine et une diminution de la densité osseuse.


    Étude clé :

    • Source : "Dietary protein and skeletal health: a review of recent human research" (2003). Cette étude suggère qu'un apport élevé en protéines, en particulier de source animale, peut contribuer à une perte de calcium osseux par une augmentation de l'acidité du sang.


Les arguments contre l'hypothèse acide-cendre


  1. Contestation du mécanisme :

    • Capacité tampon du corps : Le corps humain possède des systèmes de tamponnage très efficaces, principalement basés sur les reins et les poumons, qui maintiennent le pH sanguin dans une plage très étroite (7,35-7,45). Ces systèmes sont capables de neutraliser les acides sans nécessiter une mobilisation excessive du calcium osseux.

    • Rôle des reins : Les reins régulent l'excrétion des acides en fonction de la charge acide totale, mais sans pour autant provoquer une perte de calcium osseux significative. De plus, l'acidité des aliments a un impact relativement faible sur l'équilibre acido-basique sanguin.

  2. Études réfutant l'hypothèse :

    • Apport en protéines et santé osseuse : Certaines études indiquent que l'apport en protéines, même de source animale, est bénéfique pour la santé osseuse. Les protéines sont nécessaires pour la formation de la matrice osseuse, et une consommation adéquate de protéines est associée à une meilleure densité osseuse et à un risque réduit de fractures.

    • Absence de lien direct : Plusieurs études épidémiologiques ont montré qu'il n'existe pas de lien direct entre un apport élevé en protéines animales et une augmentation du risque d'ostéoporose. Au contraire, certains travaux suggèrent qu'un apport adéquat en protéines, lorsqu'il est équilibré par un apport suffisant en calcium et autres nutriments, peut soutenir la santé osseuse.

    Étude clé :

    • Source : "Dietary protein and bone health: a systematic review and meta-analysis" (2009). Cette méta-analyse a trouvé que, contrairement à l'hypothèse acide-cendre, un apport élevé en protéines est associé à une meilleure densité osseuse et à un risque réduit de fractures, particulièrement lorsque l'apport en calcium est adéquat.


Synthèse des arguments :


  • Pour l'hypothèse acide-cendre : Les partisans de cette théorie s'appuient sur l'idée que les acides générés par le métabolisme des protéines animales peuvent nécessiter un tamponnement par le calcium osseux, entraînant ainsi une déminéralisation et augmentant le risque d'ostéoporose. Les études montrant une augmentation de l'excrétion urinaire de calcium après une consommation élevée de protéines renforcent cette hypothèse.


  • Contre l'hypothèse : Les opposants à cette hypothèse soulignent que l'organisme possède des mécanismes sophistiqués pour maintenir l'équilibre acido-basique sans puiser de manière excessive dans les réserves calciques des os. Ils mettent également en avant les bénéfices des protéines pour la santé osseuse, argumentant que les protéines sont essentielles à la structure osseuse et que leur consommation n'est pas liée de manière causale à l'ostéoporose.

Voilà la vue d'ensemble, il y a plusieurs soucis de raisonnement de la part de ceux sont contre l'hypothèse acide cendre sans preuve. Ce serait facilement vérifiable avec d'autres études plus approfondies chose qui n'a pas était faite. Il suffirait d'utiliser des methodes comme :


Marqueurs de résorption osseuse : Des biomarqueurs spécifiques de la résorption osseuse, tels que le C-télopeptide (CTX) ou le N-télopeptide (NTX), peuvent être mesurés dans le sang ou l'urine. Une augmentation de ces marqueurs indique une résorption osseuse accrue, suggérant que le calcium excrété pourrait provenir des os.


Étude isotopique : L'utilisation d'isotopes de calcium permet de tracer le parcours du calcium dans le corps. Des isotopes stables du calcium peuvent être utilisés pour distinguer le calcium d'origine alimentaire du calcium provenant des os.


Notamment...


Ces études approfondies n'ont jamais était réalisées malgré les grandes certitude des contestataire de la l'hypothèse acide-cendre ...


Je rajoute que les détracteurs disent que le corps a des mécanismes complexes pour réguler l'acidité du sang sans prendre dans les réserves de calcium oui sauf que cela est vrai quand les capacité adaptive ne sont pas dépassée... et avec une consommation chronique de produits laitiers acidifiant on y est ...


Et deuxièmement il est établie que la neutralisationde l'acidité sanguine peit se faire par déminéralisation osseuse.


De plus l'absorption du calcium par la paroi intestinaleest limitée :


Le corps régule naturellement l'absorption du calcium en fonction de ses besoins. Si l'apport en calcium est élevé, l'intestin diminue son absorption pour éviter un excès. Donc s'il y a augmentation de l'excrétion de calcium d'origine alimentaire cela signifie qu'il y a porosité intestinale. Donc cela montre les méfaits des produits laitiers sur la barrière intestinale au moins.


La déminéralisation osseuse pour alcaliniser le sang est une réalité général pour le cas des produits laitiers elle n'est pas prouvé. Mais cette réalité général qui est donc possible en cas de de capacité d'adaptation limitée face à une agression acide chronique est une possibilité évidente non prouvé à l'heure actuelle pour les produits laitiers pour certains...


De plus les études contestataires sont géneralistes et couvrent un large panel de personnes ce qui cache les problèmes liés à la consommation des produits laitiers ceux-ci causant ces soucis de charge acide pour le sang surtout en cas de porosité intestinale lié ou pas à la mauvaise digestion des produits laitiers. Il faut donc s'orienter vers les études annalysant spécifiquement ce type de personnes pour avoir une annalyse cohérente une vue d'ensemble et une vue plus ciblée. Le raisonnement permettant de calibrer, d'orienter les sujets de recherches.


De plus la consommation de produits laitiers à été signalés comme source de porosité intestinale à cause de sa mauvaise digestion perturbant les intestins et le microbiote. À cause de ses protéines, dont la caséine une fameuse phosphoproteine et du lactose.


Cependant avec un système digestif fort qui digére correctement le lait, la personne peut profiter de ses bénéfices sans trop de désagréments. Mais même si cela est passable cela ne veut pas dire que cela ne nuit pas. Cela peutnuire de maniere sourde sans faire de symptômes et plus tard cela peutbse révéler sous forme de maladies chroniques voir dégénérative ou inflammatoires. A force de dégât tout doucement au fure et à mesure.


Des fois il vaut mieux ne pas tolérer un aliment du tout et ne pas en consommer que le tolérer alors qu'il nous nuit et se détruire à petit feu.


En Ayurveda, une ancienne médecine traditionnelle indienne, l'ajout de gingembre et de curcuma au lait est une pratique courante qui repose sur les propriétés médicinales de ces épices. Cette combinaison est souvent utilisée pour renforcer les bienfaits du lait tout en compensant certains de ses effets potentiellement négatifs. Voici une explication des raisons pour lesquelles ces épices sont souvent ajoutées au lait :


1. Propriétés du Curcuma :

  • Anti-inflammatoire : Le curcuma contient de la curcumine, un puissant anti-inflammatoire naturel. Lorsqu'il est ajouté au lait, il aide à apaiser l'inflammation dans le corps, y compris celle qui pourrait être déclenchée par une sensibilité aux produits laitiers.

  • Antioxydant : Le curcuma est riche en antioxydants, qui protègent les cellules du corps contre les dommages oxydatifs.

  • Digestion : En Ayurveda, le curcuma est considéré comme un digestif, aidant à améliorer l'assimilation des nutriments et à réduire les troubles digestifs.


2. Propriétés du Gingembre :

  • Stimulant digestif : Le gingembre est connu pour stimuler la digestion et réduire les ballonnements et les nausées. Il aide à prévenir les effets indésirables que certaines personnes peuvent ressentir après avoir bu du lait, comme la lourdeur d'estomac.

  • Anti-inflammatoire et analgésique : Comme le curcuma, le gingembre a des propriétés anti-inflammatoires, qui peuvent aider à apaiser le système digestif et à réduire l'inflammation dans le corps.

  • Réchauffant : Le gingembre a un effet réchauffant sur le corps, ce qui peut être bénéfique lorsque le lait est consommé par temps froid ou chez les personnes ayant un dosha Kapha élevé (selon l'Ayurveda, Kapha est associé aux éléments eau et terre, et le gingembre peut aider à équilibrer ces éléments en raison de sa nature réchauffante).

3. Équilibrer les effets du lait :

  • Réduction des effets de Kapha : En Ayurveda, le lait est considéré comme un aliment qui augmente le dosha Kapha, lié à la lourdeur, à la stagnation, et au froid. Le gingembre et le curcuma, en revanche, sont vus comme réchauffants et stimulants, ce qui aide à équilibrer les effets de Kapha, en particulier pour les personnes qui ont déjà un excès de Kapha.

  • Facilitation de la digestion : Le lait peut être difficile à digérer pour certaines personnes, en particulier s'il est consommé froid ou si la digestion est faible. Les épices comme le gingembre et le curcuma stimulent Agni, le feu digestif, et aident à prévenir l'accumulation d'ama (toxines) dans le corps.

4. Boisson médicinale : Le Lait Doré

  • Golden Milk (Haldi Doodh) : Cette combinaison de lait, curcuma, et gingembre est la base du "lait doré", une boisson ayurvédique populaire utilisée pour renforcer l'immunité, favoriser un bon sommeil, réduire l'inflammation et améliorer la digestion.

  • Préparation : Le lait doré est généralement préparé en faisant chauffer du lait (de vache, d'amande ou de coco), avec du curcuma, du gingembre (frais ou en poudre), du poivre noir (pour améliorer l'absorption de la curcumine), et parfois du miel pour adoucir le goût. Cette boisson est souvent consommée avant le coucher.


En résumé, l'ajout de gingembre et de curcuma au lait en Ayurveda est une pratique visant à renforcer les bienfaits du lait tout en atténuant ses effets potentiellement lourds sur le corps, en particulier sur la digestion. Ces épices apportent des propriétés anti-inflammatoires, digestives, et réchauffantes qui contribuent à un équilibre harmonieux selon les principes ayurvédiques.


MTC


En Médecine Traditionnelle Chinoise (MTC), les produits laitiers sont généralement considérés différemment que dans les approches de la médecine occidentale. Les principes de la MTC, basés sur des concepts tels que le Qi, le Yin, le Yang, et les Cinq Éléments, influencent l'évaluation des aliments et de leurs effets sur la santé. Voici comment les produits laitiers sont perçus dans la MTC :



1. Propriétés des Produits Laitiers en MTC :


  • Nature Froid et Humide : Les produits laitiers sont souvent considérés comme ayant une nature froide et humide. Cela peut entraîner des déséquilibres dans le corps, en particulier si une personne est déjà sujette à des conditions de froid ou d'humidité.

  • Formation de Phlegme : En MTC, les produits laitiers sont réputés pour favoriser la formation de phlegme (ou mucus) dans le corps. Le phlegme est associé à des troubles tels que la toux, la congestion, et des problèmes digestifs.


2. Effets sur les Organes :

  • Poumons et Rate : Les produits laitiers peuvent affecter les poumons et la rate. La MTC considère que les produits laitiers peuvent entraîner une accumulation de phlegme et de mucus dans les poumons, ce qui peut conduire à des symptômes comme la toux et les bronchites. Sur la rate, ils peuvent affaiblir la digestion et favoriser la formation de mucus.

  • Digestion : Les produits laitiers peuvent être perçus comme difficiles à digérer pour certaines personnes, contribuant à des symptômes comme la distension abdominale et les troubles digestifs. Cela est lié à leur nature froide et humide.


3. Impact sur l'Équilibre du Qi et du Yang :

  • Qi et Yang : La consommation excessive de produits laitiers est parfois vue comme pouvant diminuer le Qi (l'énergie vitale) et le Yang (l'énergie chauffante) dans le corps. Cela peut conduire à des sensations de fatigue, de froid et à un ralentissement général des fonctions corporelles.


4. Recommandations en MTC :

  • Modération et Température : La MTC recommande souvent de consommer les produits laitiers avec modération, surtout pour les personnes ayant des déséquilibres de type froid ou humidité. Les produits laitiers peuvent être mieux tolérés lorsqu'ils sont chauffés (comme dans le lait chaud ou les soupes) pour contrer leur effet froid.

  • Alternatives : Pour ceux qui sont sensibles aux produits laitiers ou qui présentent des signes d'accumulation de phlegme, les alternatives comme les boissons à base de plantes, les substituts au lait non laitiers (par exemple, le lait d’amande, de soja ou de riz), et les aliments chauffants sont souvent recommandés.


Références en MTC :

  • "The Yellow Emperor's Classic of Internal Medicine" (Huangdi Neijing) : Cet ouvrage classique de la MTC décrit les principes de l'alimentation et de l'équilibre énergétique, incluant les effets des aliments comme les produits laitiers.

  • "Chinese Medicine Diet Therapy" de Bob Flaws : Ce livre explore en détail la manière dont différents aliments, y compris les produits laitiers, affectent la santé selon la MTC.


En conclusion, en Médecine Traditionnelle Chinoise, les produits laitiers sont souvent perçus comme ayant des propriétés qui peuvent conduire à des déséquilibres de type froid et humidité dans le corps. Leur consommation est donc recommandée avec prudence, et il est conseillé de les équilibrer avec des aliments chauffants et digestifs pour éviter les effets indésirables.

























41 vues0 commentaire

Comments


bottom of page