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Les solutions naturelles pour la prostate



🧔‍♂️ L’hypertrophie bénigne de la prostate (HBP) : mieux comprendre et agir naturellement


🧬 Qu’est-ce que l’HBP ?


L’hypertrophie bénigne de la prostate (HBP), aussi appelée adénome prostatique, est une augmentation non cancéreuse du volume de la prostate. Elle survient principalement après 45 ans, et touche jusqu’à 70 % des hommes après 60 ans.


Informations à titre indicatif ne remplacent pas un avis médical. Consultez votre médecin avant tout.


Elle n'est pas un cancer, mais peut fortement altérer la qualité de vie si elle n’est pas accompagnée de façon adaptée.


🔬 Composition tissulaire et histologique de la prostate : un système complexe au cœur de l’HBP


La prostate n’est pas une simple glande unique, mais un organe glandulo-musculo-fibreux très structuré, à la fois exocrine, endocrinien, neuro-immunitaire, et sensible aux variations hormonales et métaboliques.


🧩 1. Compartimentation anatomique et histologique


🔸 Zone périphérique (70 % du volume)

  • Riche en glandes tubulo-alvéolaires.

  • Plus sujette au cancer de la prostate.


🔸 Zone centrale (25 %)

  • Glandes entourant les canaux éjaculateurs.

  • Moins fréquemment touchée.


🔸 Zone transitionnelle (5–10 % mais siège principal de l’HBP)

  • C’est ici que l’on observe l’hyperplasie nodulaire dans l’HBP.

  • Très réactive à la DHT et aux œstrogènes.


🔸 Stroma (tissu conjonctivo-musculaire)

  • Entoure et soutient les glandes.

  • Siège des cellules musculaires lisses, des fibroblastes, et du tissu nerveux.

  • Fortement impliqué dans la réactivité inflammatoire et la contraction urétrale.


🧬 2. Tissus constitutifs et leur rôle dans l’HBP

Tissu

Rôle physiologique

Rôle dans l’HBP

Glandulaire

Sécrète le liquide séminal (pH alcalin, enzymes, zinc…)

Prolifération excessive sous DHT → nodules

Musculaire lisse

Contraction lors de l’éjaculation

Hypertrophie → rigidité et résistance urétrale

Fibreux/conjonctif

Structure, vascularisation, médiation cellulaire

Fibrose + pression mécanique sur urètre

Cellules basales & souches

Régénération tissulaire

Déséquilibre prolifération/apoptose

Tissu nerveux autonome

Contrôle adrénergique (sympathique) du tonus urétral

Hypersensibilité → dysurie, urgences, spasmes urinaires


🧬 Et le gras dans la prostate ? (tissu adipeux périprostatique)

✅ Présence anatomique :

  • La prostate n’est pas composée de tissu adipeux en elle-même.

  • Mais elle est entourée par un tissu adipeux périprostatique et pelvien :

    • Graisse périrénale

    • Graisse rétro-pubienne

    • Graisse viscérale profonde

🧠 Ce tissu est métaboliquement actif, et influence fortement la santé prostatique.

🧪 Rôle physiopathologique du gras autour de la prostate :



1. 🔥 Inflammation de bas grade


  • Le tissu adipeux sécrète des cytokines pro-inflammatoires :

    • TNF-α

    • IL-6

    • Leptine

    • Résistine

Ces substances favorisent la prolifération stromale et glandulaire, augmentant le volume prostatique.

2. ⚖️ Conversion hormonale via l’aromatase


  • Le tissu adipeux est riche en enzyme aromatase, qui :

    • Convertit la testostérone en œstradiol (E2).

    • Ce surplus d’œstrogènes stimule l’HBP via les récepteurs œstrogéniques α, pro-prolifératifs.


3. 🧱 Insulinorésistance et stimulation de l’IGF-1


  • Le gras viscéral favorise une résistance à l’insuline :


    • Cela stimule l’axe insuline/IGF-1, qui est mitogène (favorise la croissance cellulaire).

    • Cet axe est très actif dans les tissus prostatiques, surtout en présence de DHT.


4. 🧪 Graisse = réservoir de toxines lipophiles


  • Pesticides, dioxines, perturbateurs endocriniens s’accumulent dans le tissu adipeux.

  • Ces substances imitent les œstrogènes ou perturbent les récepteurs androgéniques.

  • Résultat : croissance désorganisée des tissus prostatique + inflammation persistante.


📌 En résumé :

Le gras autour de la prostate est un facteur amplificateur de l’HBP :

  • En favorisant l’inflammation chronique,

  • En modifiant le métabolisme hormonal,

  • En alimentant la prolifération cellulaire par l’IGF-1.


🌿 Naturopathie : pourquoi réduire le tissu adipeux viscéral aide la prostate ?


  1. Diminue les œstrogènes circulants (moins d’aromatase).

  2. Réduit l’inflammation systémique.

  3. Améliore la glycémie et la résistance à l’insuline.

  4. Favorise un sang plus propre, une lymphe plus fluide, un meilleur drainage pelvien.



🧪 Pourquoi cela se produit-il ? Les causes profondes


🧴 1. Hormones androgènes


  • La DHT (dihydrotestostérone), dérivée de la testostérone, stimule la croissance cellulaire de la prostate.

  • Elle agit via l’enzyme 5-alpha-réductase.

  • Un excès de DHT favorise l’HBP.


⚖️ 2. Déséquilibre hormonal œstrogènes/androgènes


  • Avec l’âge, les hommes subissent une aromatase excessive, transformant la testostérone en œstrogènes.

  • Or, les œstrogènes stimulent la prolifération prostatique, en synergie avec la DHT.


🌿 Le terrain : facteur déterminant


La prostate est l’organe sentinelle du "terrain pelvien". Un encrassement progressif du sang, de la lymphe et du tissu conjonctif en amont est souvent observé.


🩸 1. Intestin et microbiote : gardiens de la pureté du sang


  • Un intestin poreux laisse passer des toxines bactériennes (LPS, ammoniaque, indoles) dans la circulation, ce qui irrite la prostate.

  • Un microbiote déséquilibré produit des métabolites inflammatoires qui surchargent le foie et perturbent la régulation hormonale.

  • Un bon microbiote + muqueuse saine = sang plus propre = moins de congestion prostatique.


🧽 2. Foie et reins : les grands émonctoires


  • Le foie dégrade les œstrogènes. Si saturé, les œstrogènes s’accumulent.

  • Les reins éliminent les déchets hydrosolubles (urée, acide urique). Une faiblesse rénale augmente la charge pelvienne.

  • Ces deux organes participent à la détoxication hormonale et métabolique du petit bassin.


💧 3. Système lymphatique : réseau d’évacuation


  • La prostate baigne dans un riche réseau lymphatique.

  • Une lymphe stagnante = inflammation chronique, fibrose, oedème.

  • Le macérat glycériné de gui, l’huile de ricin en cataplasme, et le drainage manuel aident à restaurer la fluidité lymphatique.


📊 Taux de PSA selon l’âge


Âge

Valeur maximale normale de PSA (ng/mL)

< 50 ans

2,5

50–59 ans

3,5

60–69 ans

4,5

70–79 ans

6,5



🌟 Approche naturopathique globale


🧃 Alimentation anti-inflammatoire et régulatrice de la prostate

Des aliments riches en polyphénols, enzymes, stérols, flavonoïdes, lignanes, micronutriments, oméga-3, permettent de ralentir l’évolution de l’HBP, réduire l’inflammation, et harmoniser le terrain hormonal.

🥬 Aliment / Jus

🌿 Principes actifs / Propriétés principales

Grenade

Polyphénols, punicalagines – antioxydant, inhibe DHT, régule l’aromatase

Tomate (lycopène)

Lycopène – anti-DHT, antioxydant, freine la croissance prostatique

Curcuma, gingembre

Curcuminoïdes, gingérol – anti-inflammatoires (COX-2), modulant prostaglandines

Ananas (bromélaïne)

Enzyme bromélaïne – anti-oedémateux, anti-inflammatoire

Céleri, concombre

Minéraux alcalinisants – diurétiques, favorisent le drainage urinaire

Pastèque

Citrulline – améliore la microcirculation pelvienne

Oignon, poireau

Fructanes, quercétine – prébiotiques, stimulants hépato-rénaux

Brocoli

Sulforaphane, indoles – modulent les œstrogènes, effet détox hépatique, anti-prolifératif

Racine d’ortie

Lignanes, stérols – inhibe 5-alpha-réductase, régule œstrogènes

Graines d’ortie

Zinc naturel, lignanes – anti-inflammatoire, soutien hormonal

Huile de nigelle

Thymoquinone – immunomodulant, antioxydant, antitumoral

Figue de Barbarie (nopal)

Fibrine, vitamines – antioxydante, hypoglycémiante, protectrice prostatique

Huile de pépins de courge

Phytostérols Delta-5 et 7 – inhibe DHT, décongestionne la prostate

Fenugrec

Saponines, diosgénine – endocrinien, hypocholestérolémiant

Macérat de gui (gemmo)

Lectines, viscotoxines – lymphatique, hormonal, anti-kyste, anticancer

Réglisse (usage court)

Glycyrrhizine – anti-inflammatoire, adaptogène, protecteur hépatique

Oléagineux (amandes, noix, lin, noix du Brésil)

Vitamine E, oméga-3, sélénium, lignanes – antioxydants, rééquilibrent oméga-6/oméga-3

Datte (modérée)

Polyphénols, potassium – antioxydante, douce pour la sphère urinaire

Figue fraîche/sèche

Fibres, flavonoïdes – régulatrice intestinale, antioxydante, soutien hormonal léger

Œufs (modération)

Choline, zinc, vitamine D – structure hormonale, régénération cellulaire

Avocat

Oméga-9, phytostérols, potassium – anti-inflammatoire, régule lipides et hormones

Baies rouges (myrtille, cassis)

Anthocyanes – protectrices vasculaires et antioxydantes

Canneberge (cranberry)

Proanthocyanidines – anti-adhésion bactérienne, protectrice urinaire

Cerise

Anthocyanes – anti-inflammatoire, protectrice vasculaire douce

Poire

Sorbitol, fibres – diurétique doux, bien tolérée, légèrement basifiante

Melon

Potassium, bêta-carotène – hydratant, antioxydant léger

Papaye

Enzymes (papaïne), caroténoïdes – anti-inflammatoire, digestive, antioxydante

Goyave

Vitamine C, lycopène – antioxydante, soutien immunitaire, protection tissulaire

Champignons (Reishi, Maitaké)

Bêta-glucanes – immuno-régulateurs, anti-inflammatoires, anti-tumeur, anti-androgènes

Thé vert (infusion)

EGCG – anti-angiogénique, antioxydant, diminue le stress oxydatif prostatique

Sarrasin (sans gluten)

Rutine, magnésium – anti-inflammatoire vasculaire, riche en fibres solubles

Ail noir (ou fermenté)

S-allylcystéine – antioxydant puissant, soutien hépatique et métabolique

Lentilles

Fibres, polyphénols, fer, folates – anti-inflammatoires, régulatrices glycémiques, soutien de la flore intestinale

Pois chiches

Zinc, fibres, isoflavones – régulateur hormonal doux, soutien du microbiote intestinal

Haricots (rouges, blancs)

Fibres, potassium, polyphénols – régulateurs glycémiques, protecteurs cardiovasculaires

Légumineuses (groupe)

Protéines végétales, fibres, magnésium – basifiantes, modèrent l’insulinémie et la DHT

Bruyère (infusion)

Arbutine – antiseptique urinaire, diurétique pelvien doux, soutien de la vessie et des reins

Palmier nain (Serenoa repens)

Phytostérols, acides gras – inhibe 5-alpha-réductase, diminue l’inflammation et le volume prostatique

Pygeum africanum

Phytostérols, triterpènes – décongestionnant prostatique, anti-œdémateux, améliore les symptômes urinaires

Pour le brocoli le prendre en smoothie les fibres cassé piegeron les cyanidines toxique et le microbiote aussi pris crue il y aura ca mais pas pour les parties non maché donc on aura la toxicité pour la thyroïde mais a haute dose plus de 500 g par jour pendant plusieurs semaines.





Pour le cancer de la prostate cela a 1 effet mais le jus de tomates sera plus intéressant on peut le coupler avec du sélénium et la vitamine e pour de meilleures résultats.Pour l'extrait de brocoli le dosage est de 200 mg à 1 5 g par jour.




🗓️ Plan naturopathique de cure (exemple)

Moment

Jus thérapeutique

Supplémentation

Activité recommandée

Matin

Jus grenade + brocoli

Reishi 600 mg + 5 ml huile de pépins de courge

Marche rapide 30 min

Midi

Jus tomate + courge

Zinc 15 mg + 10–15 ml huile de son de riz

Repas végétal

Soir

Jus betterave + céleri + figue de Barbarie

Grifola 500 mg + 10–15 ml huile de son de riz

Yoga doux ou respiration

📆 Durée :

  • Cure continue de 6 à 9 mois, amélioration observable dès 2 à 3 semaines. Faire une pause de 1 mois tout les 3 mois et d'alterner avec d'autre plante en attendant.


Le plus simple reste de faire une cure par exemple avec l'huile de graine de courge + laracine d'ortie puis pendant la pause de 1 mois changer avec une cure reishi + Grifola (maitaké)




⚖️ L'équilibre oméga-3 / oméga-6 : une clé anti-inflammatoire de terrain


Dans l’alimentation moderne, l’apport en oméga-6 (acide linoléique) est souvent excessif, provenant :


  • d’huiles végétales (tournesol, maïs, pépins de raisin),

  • de plats industriels,

  • de nombreuses graines ou produits transformés.



Type d’oméga

Source principale

Action principale

Oméga-6

Huiles végétales (tournesol, maïs…), viandes

Pro-inflammatoire si en excès

Oméga-3 ALA, EPA, DHA

Lin, cameline, noix, poissons gras

Anti-inflammatoire, anti-prolifératif


Les oméga-6 en excès stimulent la production de médiateurs pro-inflammatoires (prostaglandines de type 2, leucotriènes B4) via la voie de l’acide arachidonique.


🧘‍♂️ Pourquoi cela pose problème dans l’HBP ?


  • L’inflammation de bas grade alimente la croissance prostatique et l’œdème pelvien.

  • L’excès d’oméga-6 freine l’absorption des oméga-3, créant un terrain propice à la fibrose et aux troubles hormonaux.


💧 À équilibrer avec les oméga-3 (EPA, DHA, ALA) :


  • Présents dans : poissons gras, huiles de lin, cameline, noix, périlla, algues.

  • Ils favorisent la production de médiateurs anti-inflammatoires (résolvines, protectines).

  • Ils freinent la prolifération stromale et glandulaire, favorisent la vascularisation saine et régulent la fluidité membranaire.

🎯 Ratio idéal oméga-6 / oméga-3 : 4:1 maximum (souvent >20:1 dans l’alimentation actuelle !)

⚗️ L’équilibre acido-basique : fondement du terrain prostatique


L’alimentation moderne acidifie le terrain :


  • Trop de protéines animales, sucres raffinés, fromages, charcuteries, produits industriels.

  • Trop peu de fruits, légumes, graines alcalinisantes.


Une acidose chronique légère :


  • Encrasse le tissu conjonctif prostatique.

  • Freine le drainage lymphatique.

  • Favorise la calcification et la fibrose prostatique.

  • Réduit la biodisponibilité du zinc et du magnésium.


🌿 Solutions naturelles :


  • Jus verts, légumes racines, amandes, figues, citron (alcalinisant malgré son goût acide)

  • Éviter les combinaisons lourdes (protéines + amidons + graisses cuites).

  • Stimuler l’élimination des acides via foie, reins et lymphe (avec les plantes vues plus haut).


✒️ Pour aller plus loin :


📖 Tu peux consulter l’article détaillé et illustré de Jérôme Herissé naturopathe et magnétiseur ici :👉 https://www.herissejeromenaturopathe.com/post/l-alimentation-et-l-%C3%A9quilibre-acido-basique


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💧 Cure de protection urinaire pour l’hypertrophie bénigne de la prostate


🎯 Objectif de la cure :


  • Protéger les voies urinaires basses (vessie, urètre, prostate)

  • Diminuer la charge inflammatoire et bactérienne

  • Favoriser le drainage urinaire et pelvien

  • Renforcer les émonctoires (reins, foie, lymphe)

  • Soulager la stase pelvienne en lien avec l’HBP


🌿 Plantes et remèdes utilisés dans la cure


🌿 Remède naturel

🧬 Propriétés spécifiques utiles pour la prostate et les voies urinaires

Clou de girofle (Syzygium aromaticum)

Antiseptique urinaire puissant, antifongique, anti-inflammatoire, spasmolytique

Baie de genévrier (Juniperus communis)

Diurétique, antiseptique rénal, stimulante des reins, décongestionnante du petit bassin

Racine ou graine d’ortie (Urtica dioica)

Anti-DHT, diurétique doux, régulatrice hormonale et anti-inflammatoire pelvienne

Pissenlit (Taraxacum officinale)

Cholérétique, diurétique doux, dépuratif général, draine foie et reins

Eau citronnée (citron bio)

Alcalinisante, antioxydante, stimulante hépatique douce, améliore la diurèse

Oignon cru ou jus

Prébiotique, diurétique, anti-inflammatoire des voies urinaires, améliore l’élimination

Ail

Antibactérien, anti-inflammatoire, stimulant circulatoire et urinaire

Persil

Diurétique, riche en apigénine (anti-inflammatoire), stimulant des reins

Thym

Antiseptique respiratoire et urinaire, stimule l’élimination bactérienne

Baies de myrtille ou cranberry

Antibactérien anti-adhésion urinaire (E. coli), protecteur de la vessie

🧪 Comment fonctionnent ces remèdes ?


Ces plantes et extraits agissent selon 4 grands axes :


  1. Effet antiseptique urinaire : limitent la prolifération microbienne dans l’urètre et la vessie (clou de girofle, thym, oignon, myrtille).

  2. Stimulation de la diurèse : augmentent le débit urinaire, favorisant l’évacuation de la DHT, des toxines et des cristaux (genévrier, pissenlit, citron).

  3. Soutien des émonctoires : foie (pissenlit, citron), reins (persil, genévrier), lymphe (ortie).

  4. Effet anti-inflammatoire pelvien : ortie, oignon, ail, clou de girofle → réduisent œdème et stase prostatique.


🧾 Exemple de cure-type de 21 jours (adaptable en fonction du terrain)


🕘 Matin à jeun :


  • ½ citron bio pressé dans 1 verre d’eau tiède

  • 10 gouttes de teinture-mère de pissenlit ou 20 gouttes de macérat glycériné d’ortie

  • 1 gousse d’ail cru écrasée (ou 1 gélule standardisée)


🥣 Petit-déjeuner :


  • 1 cuillère à soupe de jus d’oignon (ou oignon cru râpé) + huile d’olive vierge


🕛 Midi :


  • 1 tisane de baies de genévrier (1 c. à café écrasée infusée 10 min)

  • 5 gouttes d’HE de clou de girofle sur support (miel, huile, comprimé neutre) 1 fois par jour, 7 jours sur 21 (puis pause)


🧉 Après-midi :


  • 1 tisane de thym + persil (infusion 15 min)

  • Eau légèrement citronnée (500 ml/jour)


🌙 Soir :


  • 10 gouttes de macérat glycériné de gui ou de palmier nain

  • 1 cuillère à soupe de jus d’ortie ou de décoction de racine (si disponible)


🌀 Synergie recommandée avec cette cure

Élément complémentaire

Rôle

Reishi (mycothérapie)

Anti-inflammatoire, immunomodulateur

Grifola (maitaké)

Métabolisme hormonal, immunité

Huile de courge

Phytostérols anti-DHT

Macérat de gui

Lymphe, hormones, anti-kyste

Cataplasmes d’huile de ricin

Drainage pelvien, foie, lymphe

⚠️ Précautions


  • Genévrier : éviter en cas d’insuffisance rénale ou grossesse.

  • Clou de girofle : très actif → usage ponctuel, pas en continu. À éviter si ulcères digestifs ou anticoagulants.

  • Pissenlit : attention chez les sujets très hypotendus ou sensibles aux amers.


✅ Résumé pratique


  • ✔ Cure de 21 jours, avec alternance des plantes pour éviter les accoutumances.

  • ✔ Soutien urinaires + hépato-rénal + pelvien.

  • ✔ Peut être faite 3 fois par an, ou intégrée en rotation dans une cure prostate longue (3 à 6 mois).

Merci pour la précision !

Voici donc le texte révisé et enrichi avec la notion importante de drainage lymphatique intégrée dans la réponse scientifique précédente, de manière fluide et cohérente.



Effets anti-inflammatoire


🌿 Huile essentielle d’Eucalyptus citronné et hypertrophie bénigne de la prostate (HBP) – approche scientifique détaillée



L’huile essentielle d’eucalyptus citronné (Eucalyptus citriodora ou Corymbia citriodora, riche en citronellal) suscite un intérêt scientifique croissant pour ses propriétés biologiques, en particulier dans le cadre de l’hyperplasie bénigne de la prostate (HBP).



🔷 1. L’HBP en bref


L’HBP est une affection fréquente chez l’homme vieillissant, marquée par :


prolifération excessive des cellules stromales et épithéliales prostatiques.


rôle clé de la dihydrotestostérone (DHT, via la 5α‑réductase).


composante inflammatoire chronique, fibrose et congestion veino‑lymphatique locale.



Les approches phytothérapeutiques visent à : ✅ freiner la DHT,

✅ moduler l’inflammation,

✅ limiter la fibrose,

✅ décongestionner la région pelvienne et améliorer le drainage lymphatique.



🔷 2. Propriétés biochimiques pertinentes


L’huile essentielle d’eucalyptus citronné contient principalement :


citronellal (60–80 %),


citronellol, isopulegol en plus faibles quantités.



Ces molécules présentent des effets :


anti‑inflammatoires (inhibition de NF‑κB, réduction de TNF‑α, IL‑6)


antioxydants (réduction du stress oxydatif)


antifibrotiques (inhibition de la voie TGF‑β/Smad)


lymphotoniques et décongestionnants (amélioration de la microcirculation lymphatique et veineuse).




🔷 3. Effets potentiels en interne sur l’HBP


📌 a) Anti‑inflammatoire


L’HBP est associée à une inflammation locale chronique.


> Le citronellal inhibe des médiateurs clés comme NF‑κB et les cytokines pro‑inflammatoires (TNF‑α, IL‑6), ce qui peut limiter l’œdème et la prolifération stromale (Melo et al., 2011, Ma et al., 2021).




📌 b) Antioxydant


Le stress oxydatif contribue à la fibrose prostatique.


> L’huile stimule les enzymes antioxydantes (SOD, CAT) et réduit la peroxydation lipidique.




📌 c) Antifibrotique


La fibrose pelvienne participe à l’obstruction urinaire.


> Le citronellal a montré un effet antifibrotique via l’inhibition du TGF‑β sur des modèles rénaux et pulmonaires (Zhao et al., 2020).




📌 d) Lymphotonique & décongestionnant


La congestion veino‑lymphatique pelvienne aggrave l’œdème prostatique.


> Le citronellal améliore la tonicité lymphatique et la microcirculation, facilitant le drainage des tissus (Ribeiro et al., 2010).




Ces mécanismes correspondent à plusieurs cibles thérapeutiques actuelles.



🔷 4. Utilisation interne – prudence & pistes


La publication MDPI (Chen et al., Metabolites, 2023) a confirmé la faible toxicité orale du citronellal chez l’animal (DL50 > 2000 mg/kg).


Chez l’homme, une dose expérimentale prudente pourrait être de : ✅ 1–2 gouttes (≈ 50–100 mg) diluées dans une huile végétale, en gélule gastrorésistante, 1–2 fois par jour, pendant 2–3 semaines maximum, sous supervision médicale.

📌 Il n’existe toutefois pas d’essai clinique validant ce protocole.



🔷 5. Utilisation externe dans l’HBP


En voie cutanée, l’huile est traditionnellement utilisée pour :


ses effets anti‑inflammatoires et antispasmodiques locaux.


ses effets lymphotoniques et décongestionnants pelviens.



🌿 Mode d’emploi externe :


Diluer à 5–10 % dans une huile végétale adaptée (nigelle, calophylle, macadamia).


Masser le bas‑ventre, le périnée et la face interne des cuisses, en remontant vers les aines.


1 à 2 fois par jour pendant 3 semaines sur 4.



👉 Synergies recommandées :


HE cyprès toujours vert (Cupressus sempervirens) : tonique veino‑lymphatique.


HE lentisque pistachier (Pistacia lentiscus) : décongestionnant pelvien puissant.


HE niaouli (Melaleuca quinquenervia) : décongestionnant prostatique.



🔷 6. Résumé


✅ L’eucalyptus citronné agit sur 4 axes majeurs dans l’HBP :


🟢 anti‑inflammatoire


🟢 antioxydant


🟢 antifibrotique


🟢 lymphotonique et décongestionnant



Ces effets en font une huile intéressante en application externe, et potentiellement en complément expérimental par voie interne, dans une stratégie globale contre l’HBP.


📚 Principales références scientifiques :


Ma et al., Phytomedicine, 2021 – effet anti‑inflammatoire prostatique.


Zhao et al., Int Immunopharmacol, 2020 – antifibrose.


Ribeiro et al., J Ethnopharmacol, 2010 – effets vasorelaxants et lymphotoniques.


Chen et al., Metabolites, MDPI, 2023 – profil de toxicité favorable.




Système lymphatique



🌿 Le bourgeon de gui (Viscum album gemmae)


Un régulateur profond du terrain lymphatique, hormonal et inflammatoire prostatique


🔍 1. Pourquoi s’intéresser au gui pour la prostate ?


Le gui est un remède majeur en gemmothérapie, souvent reconnu pour son action sur les systèmes immunitaire, hormonal et lymphatique.

Dans le contexte de l’HBP (hypertrophie bénigne de la prostate), le gui est particulièrement intéressant pour ses actions :


  • Décongestionnantes du petit bassin,

  • Anti-oestrogéniques et hormonorégulatrices,

  • Anti-inflammatoires et antitumorales douces,

  • Draineuses de la lymphe prostatique et pelvienne.


🧬 2. Mécanismes d’action du bourgeon de gui sur la prostate


🌿 Action

⚙️ Mécanisme physiologique

Régulation hormonale

Inhibe partiellement l’aromatase → diminue la conversion testostérone/œstrogènes (souvent élevée dans l’HBP)

Modulation immunitaire

Active les macrophages M1/M2, améliore la réponse immunitaire locale sans inflammation chronique

Décongestion lymphatique

Draine le système lymphatique profond pelvien et périprostatique → moins d’œdème, de fibrose

Action antikystique / antitumorale

Freine la croissance anarchique, sans être cytotoxique (via viscotoxines, lectines)

Ralentissement de la croissance prostatique

En modulant l’expression des cytokines pro-inflammatoires (IL-6, TNF-α)


🔬 3. Indications cliniques spécifiques à l’HBP


Le bourgeon de gui est indiqué :


  • Dans l’HBP stade 1 et 2 (volume augmenté, mais sans obstruction sévère)

  • En cas de terrain lymphatique bloqué (sensation de congestion pelvienne, pesanteur)

  • Chez les hommes avec inflammation chronique prostatique (prostatite légère ou résiduelle)

  • En cas d’excès d’œstrogènes lié à un excès de tissu adipeux (gras viscéral)

  • En synergie avec d'autres bourgeons : séquoia (tonique masculin), sabal (spécifique prostate), cornouiller (vasculaire)


💧 4. Posologie conseillée


Macérat glycériné concentré ou macérat-mère


Aussi appelé : macérat glycériné sans dilution ou 1ère macération


  • Fabriqué à partir de bourgeons frais, dans un mélange de glycérine, alcool et eau.

  • Non dilué ensuite.

  • C’est la forme la plus active et la plus utilisée en naturopathie.


💧 Posologie typique :


  • 5 à 15 gouttes, 1 à 3 fois par jour, selon le terrain.

  • Pour le gui en particulier : 5 gouttes x 3/jour est une posologie fréquente en cas de fragilité vasculaire ou pelvienne.


  • Macérat glycériné 1D (gemmothérapie classique) :

    • 15 à 30 gouttes par jour, en une ou deux prises, loin des repas, diluées dans un peu d’eau.

    • Durée : minimum 2 à 3 mois, dans le cadre d’une cure de fond.


  • En association avec :


    • Sabal serrulata (bourgeon de palmier nain) en synergie directe,

    • Cornus sanguinea (cornouiller) pour la sphère vasculaire pelvienne,

    • Sequoia gigantea pour son effet androgénique modéré et reminéralisant masculin.


🧠 5. Prostate, lymphe, terrain : pourquoi le gui est logique


L’HBP est souvent associée à une stase lymphatique pelvienne, à cause de :


  • La sédentarité, la constipation, un sang épaissi, ou un foie ralenti.

  • Cela favorise l’œdème prostatique, la fibrose, et la croissance nodulaire chronique.


Le bourgeon de gui agit comme un régulateur central de la lymphe, mais aussi des hormones sexuelles et de l'immunité, ce qui en fait une des plantes majeures en terrain prostatique chronique congestif.


⚠️ 6. Contre-indications et précautions

  • Ne pas utiliser en cas de :

    • Traitement immunosuppresseur lourd (ex. greffe, chimiothérapie sans encadrement médical),

    • Cancer de la prostate confirmé non suivi médicalement (à éviter seul sans orientation thérapeutique).

  • Prudence chez les personnes :

    • Très hypotendues (le gui peut faire légèrement baisser la tension),

    • Sous anticoagulants (surveillance recommandée).


🧩 7. Exemple de synergie naturopathique prostate avec gui


Élément

Rôle principal

Gui (bourgeon)

Régule lymphe + hormones + inflammation

Racine d’ortie

Inhibe la 5-alpha-réductase

Huile de courge

Phytostérols, anti-DHT

Grifola + Reishi

Immuno-modulation + anti-inflammatoire

Brocoli

Sulforaphane, régulation œstrogène

Séquoia (bourgeon)

Tonifie les androgènes, préserve libido

Huile de ricin (cataplasmes)

Décongestion pelvienne + soutien hépatique


Le macérât de Bourgeons de gui est un spécialiste du système lymphatique il est plus puissant que l'huile essentielle d'eucalyptus citronnée sur cela


L’eucalyptus citronné reste intéressant pour son action plus symptomatique et locale, en massage (ou en interne pour son effet anti‑inflammatoire complémentaire).


L'huile de ricin :


L’huile de ricin (Ricinus communis), qu’on utilise surtout par voie externe (cataplasmes), a des effets puissants sur le drainage lymphatique, l'inflammation, le foie et les émonctoires, mais son usage en cas de problème de prostate nécessite quelques précautions selon la nature du problème prostatique. Voici une réponse précise selon les cas :




🧴 Peut-on faire une cure d’huile de ricin avec un problème de prostate ?



✅ 1. Si c’est une hypertrophie bénigne de la prostate (HBP)



C’est le cas le plus fréquent chez les hommes de plus de 50 ans.




Oui, on peut faire une cure d’huile de ricin par voie externe, et même en cataplasme au bas-ventre (hypogastre) ou sur le foie.



Cela aide à décongestionner les voies lymphatiques pelviennes et à soutenir le foie pour mieux éliminer les œstrogènes et les toxines pro-inflammatoires.



Bienfaits possibles :



Amélioration du drainage pelvien



Réduction de l’inflammation locale



Meilleure élimination hormonale via le foie





Comment faire ? :



Imbiber un tissu de flanelle d’huile de ricin



Poser sur le bas-ventre (zone pubienne ou foie selon l’objectif)



Appliquer une bouillotte 30 à 60 min, 3 à 5 fois/semaine




💡 Cure idéale : 21 jours avec pause d’1 semaine, puis renouveler




⚠️ 2. Si c’est une prostatite aiguë ou chronique (inflammatoire)



Oui, mais pas sur la prostate directement en phase aiguë.



Privilégier le foie et les intestins : cataplasmes sur le foie pour soutenir l’élimination des toxines inflammatoires et améliorer le transit (car constipation = congestion pelvienne).



En phase chronique, on peut ensuite tester des cataplasmes doux sur le bas-ventre pour relancer le drainage.




❌ 3. En cas de cancer de la prostate



NON, on évite les cataplasmes chauds directs sur la zone prostatique.



Mais on peut utiliser l’huile de ricin sur le foie pour aider à soutenir les émonctoires, en concertation avec un professionnel de santé.




❗ Et par voie interne ?



L’huile de ricin par voie interne (purge) est laxative drastique, à réserver avec prudence et sous supervision, surtout chez les hommes avec faiblesse digestive, inflammation intestinale ou sous traitement médicamenteux.



Elle n’a pas d’effet direct sur la prostate, mais peut soulager une constipation qui aggrave la congestion pelvienne.




🌿 Synergie intéressante pour la prostate avec cataplasme d’huile de ricin :



1. Racine d'ortie + bruyère (en cas de crises aiguë (anti-inflammatoire urinaire)




2. Huile de graines de courge crue (zinc + effet décongestionnant prostatique)



3 en mycothérapie le reishi + grifola (maitaké).



4 palmier nain, le bourgeon de gui



4. Massage doux du périnée (hors inflammation aiguë)




5. Drainage lymphatique manuel ou auto-massages



Parmi les aliments la tomate 🍅, la pastèque 🍉, la figue de barbarie (nopal), la grenade.


Améliorer sa posture et son hygiène de vie.





✅ Résumé



Problème Cure externe huile de ricin ? Remarques



HBP (adénome bénin) ✅ Oui, foie + bas-ventre Effet décongestionnant


Prostatite aiguë ⚠️ Foie uniquement Pas de chaleur sur prostate


Prostatite chronique ✅ Oui, progressivement Bas-ventre après amélioration


Cancer prostatique ❌ Non en local, ✅ sur foie Sous encadrement médical




✅ Bienfaits de l’huile de son de riz sur l’hypertrophie bénigne de la prostate


🎯 Molécule active principale : le bêta-sitostérol


L’huile de son de riz est l’aliment cité dans le document comme ayant la teneur en bêta-sitostérol la plus élevée de toutes les huiles végétales.


Le bêta-sitostérol est un phytostérol naturel ayant des effets bénéfiques multiples sur la prostate :


🔬 Mécanismes moléculaires d’action


  1. 🧬 Inhibition de la 5-alpha-réductase


    • Cette enzyme transforme la testostérone en dihydrotestostérone (DHT), une hormone androgène fortement impliquée dans l’HBP.

    • Le bêta-sitostérol bloque cette conversion, réduisant ainsi la DHT et limitant le développement du tissu prostatique.

  2. 🌐 Blocage de la DHT via la SHBG


    • Il réduit la globuline de liaison aux hormones sexuelles (SHBG), ce qui diminue l'activité de la DHT.

  3. 💥 Activité anti-œstrogénique


    • Il agit comme modulateur hormonal, empêchant les œstrogènes d’avoir un effet prolifératif sur les tissus prostatiques.


  4. 🧪 Modulation immunitaire


    • Stimule la prolifération des lymphocytes T, améliore la surveillance immunitaire, utile contre l’inflammation chronique ou l’évolution cancéreuse.


  5. 🧯 Effets anti-inflammatoires et antioxydants


    • Inhibe la production de cytokines pro-inflammatoires (TNF-α, IL-6).

    • Protège les tissus de la prostate du stress oxydatif, qui accélère la croissance cellulaire anormale.


  6. 🛑 Action anti-proliférative sur les cellules cancéreuses

    • Le bêta-sitostérol remplace une partie du cholestérol membranaire, modifiant les signaux intracellulaires et freinant la division cellulaire des cellules cancéreuses de la prostate.


🧪 Résultats cliniques mentionnés


  • Amélioration des symptômes urinaires : débit urinaire, volume résiduel, fréquence nocturne.

  • Réduction du volume prostatique et amélioration de la qualité de vie.

  • Plusieurs essais (Klippel et al., Berges et al., Braeckman et al., Schmidt et al.) confirment l’efficacité du bêta-sitostérol dans l’HBP avec des résultats visibles en 45 jours à 6 mois.


⚠️ Contre-indications mentionnées


Le fichier ne signale aucune toxicité connue du bêta-sitostérol aux doses thérapeutiques :


  • Testé chez 25 000 patients sans effets secondaires notables.

  • Toutefois, le document mentionne un risque de palpitations cardiaques en cas de surdosage d’huile de son de riz (>30 ml/jour).


Contre-indications potentielles extrapolées :


  • Hypotension ou traitement par bêtabloquants (effet hypotenseur indirect).

  • Surveillance nécessaire si anticoagulants (phytostérols peuvent avoir un léger effet fluidifiant).

  • Prudence en cas de cancer hormono-dépendant avancé (influence hormonale possible).


🥄 Utilisation conseillée


💧 Posologie quotidienne :


  • Huile de son de riz pure (non raffinée) :

    • 10 ml (2 cuillères à café) matin, midi, soir.

    • Soit 30 ml par jour maximum.


📆 Durée :


  • Cure continue de 6 à 9 mois, amélioration observable dès 2 à 3 semaines.


📚 Études et sources


  1. British Journal of Urology (1996) – Klippel et al.

  2. Lancet (1995) – Berges et al.

  3. Current Therapeutic Research (1994) – Braeckman et al.

  4. European Urology (1992, 1994) – Di Silverio et al., Strauch et al.

  5. South African Journal of Science (1997) – Pegel KH.

  6. International Journal of Immunopharmacology (1996) – Bouic et al.

  7. Journal of Clinical Investigation (1970, 1988) – Sitostérol et cholestérol.

  8. Minerva Urologica e Nefrologica (1985) – Tasca et al.

  9. Therapeutic Advances in Urology – Divers auteurs.

  10. Awad et al. (1998–1999) – Effets antiprolifératifs sur cellules cancéreuses prostatiques.

  11. Anecdotes cliniques et cas sud-africains avec Hypoxis (plante riche en bêta-sitostérol).


✅ Résumé : huile de son de riz et HBP


Aspect

Détail

Principes actifs

Bêta-sitostérol, stérolines végétales

Dose recommandée

30 ml/jour en 3 prises de 10 ml

Action principale

Inhibe 5α-réductase, réduit DHT, anti-œstrogène, anti-inflammatoire

Bénéfices attendus

Débit urinaire, miction, taille prostate, inflammation, libido

Durée de cure

6 à 9 mois

Contre-indications

Surdosage = palpitations ; prudence si traitement cardiovasculaire


Mycothérapie :


✅ Protocole « Prostate » :


Champignons recommandés :

  • Grifola frondosa (Maitaké)

  • Ganoderma lucidum (Reishi)


Ces deux champignons agissent en synergie pour :


  • Réduire le volume de la prostate,

  • Améliorer le flux urinaire,

  • Limiter les envies fréquentes d’uriner, notamment la nuit,

  • Exercer une action anti-inflammatoire et antioxydante bénéfique pour la santé prostatique


le Grifola est beaucoup plus efficace (10-20 fois plus, car 1 g de Grifola équivaut, en termes d'effet sur la prostate, à 10-20 g de Serenoa repens).



🍄 Ganoderma (Reishi) – La Royale


  • Forme : gélules contenant 260 mg de poudre de corps fructifère micronisé.

  • Posologie recommandée (fiche produit) : 1 à 2 gélules, trois fois par jour, à prendre de préférence avant les repas avec un verre d’eau (20 cl)

  • Cela correspond donc à 780 à 1 560 mg de poudre quotidienne.


🍄 Maitaké (Grifola frondosa) – La Royale


  • Forme : également en gélules avec poudre de corps fructifère.

  • Posologie recommandée : 1 à 2 gélules, trois fois par jour, à prendre avec un verre d’eau (20 cl) 

  • Le dosage total est similaire à celui du reishi, soit environ 780 à 1 560 mg de poudre par jour.


📅 Durée de la cure


Bien que ces fiches n’indiquent pas explicitement une durée, les recommandations générales et études conseillent :


  • 3 à 4 mois de cure, avec des réévaluations régulières.

  • Pour le maitaké, certaines sources suggèrent des cures de 3 semaines, réalisées 2 à 3 fois par an, mais dans le cas de la prostate, un protocole plus long est souvent privilégié.


Recommandations pour votre cas : hypertrophie bénigne de la prostate


Champignon

Posologie journalière (poudre micronisée)

Durée de cure proposée

Reishi

780 mg à 1 560 mg (1–2 gélules × 3/jour)

3 à 4 mois

Maitaké

780 mg à 1 560 mg (1–2 gélules × 3/jour)

3 à 4 mois




 
 
 

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